Paris en chansons du 17/09/2015

Paname on t’a chanté sur tous les tons…

 

Une nouvelle invitation à "panamer" dans la capitale par l’imaginaire faute de le faire en tricotant des gambettes, car si vous en doutiez encore, le confinement est le moment idéal pour faire vibrer vos cordes vocales !

Les plus belles chansons, les plus jolies romances, les plus tristes complaintes, les ritournelles les plus enlevées sur Paris ont mis en avant et évoquent toujours ses quartiers incontournables que sont Montmartre, Pigalle, Ménilmontant, Saint-Germain des Prés, les Champs-Elysées, les grands boulevards, elles parlent de ses  monuments de Notre-Dame et du Louvre,  de son fleuve la Seine  de Choisy à Passy, de ses quais, de ses ponts vus du dessous sous le pont Mirabeau, ou de dessus sur le pont des Arts.

Elles s’insinuent dans ses rues, rue de Lappe et même dans ses escaliers de la Butte. Elles racontent son Histoire, celle de la Révolution avec Madame véto, de la Commune au temps des cerises, de la libération et Paris en colère,

 

Mais Paris c‘est un hymne à l’Amour le vrai le grand, ou le canaille et même le coquin.

Paris est sans contexte la ville la plus chantée au monde, quelle que soit l’heure, à 5 heures, à midi ou à minuit quel que soit l’endroit aux Champs Elysée ou à l‘horloge du coucou. Elle l’a été après-guerre de Piaf à Montant, de Gréco à Nougaro en passant par les frères Jacques et Trenet, comme elle l’a été avant par Bruant, Mistinguett, Chevalier, elle l’est aujourd’hui par Dutronc père et fils, Daho, Camille, Paradis, comme elle le sera demain.

En France, il est dit que tout fini par des chansons, alors une fois démasqués nous pourrons chanter à gorge déployée !

 

Texte de Christiane Dezothez

 

 

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