Cliquez sur une Gazette pour lire l'intégralité.
Elle a commencé par une grande et agréable surprise. En effet, le froid de canard qui règne sur la capitale en ce jeudi soir, n’ a pas rebuté les 400 présents devant l’église Saint-Gervais Saint-Protais.
Ils sont encore nombreux à l’arrivée sur la colline de Chaillot face à la Tour Eiffel passé 22 heures, un peu moins mais nombreux quand même, après avoir parcouru les 7,5 kilomètres habituels sur un itinéraire traditionnel mais dont ne se lasse pas.
De la traversée du marché de Noël de la Place de l’Hôtel de Ville à la traversée du Palais de Chaillot, de la Place du Châtelet à la Place Vendôme, avec entre les deux, celle du Louvre, du Pont Royal au Pont Alexandre III dont la montée des marches fut couronnée par... une papillote pour chacun.
MERCI à TOUS !
Ce fut une Panamée très agréable, vous étiez un peu moins de 250 participants, entre le quartier de Notre-Dame des Champs où il s ‘est marié et la rue Saint-Antoine où il a vécu la fin de sa vie.
Entre les deux, sur le plan 7, 5 km , c’est court pour évoquer une vie bien remplie entre 1732 et 1799 : ses appartements, son lieu de naissance celui de son baptême, les théâtres de ses flamboyants succès, et ceux de ses déconvenues, ses facettes, écrivain, homme d’affaires, agent secret, horloger et harpiste. Aujourd’hui encore il fascine toujours autant.
Jeudi soir 20 octobre, il ne fallait pas avoir oublié son parapluie…
Mais si ce mauvais temps a peut-être découragé quelques marcheurs, c’est toutefois à plus de 200 que nous avons bravé les intempéries... Les causeries ont été particulièrement suivies…
Alice Milliat la créatrice des Jeux féminins, Kiki la Reine de Montparnasse, Olympe de Gouges et sa déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, Marguerite Boucicaut , madame Bon Marché après le décès de son mari et grande Dame de la générosité, et Simone Weil, rescapée de la déportation, ministre de la santé , Première présidente de la commission Européenne.. La place Denfert-Rochereau, Montparnasse, Saint Sulpice, La Pagode et pour finir les Invalides illuminés.
Un bon moment, merci à tous !
NB Parmi les livres...
Ainsi soit Olympe de Gouges de Benoite Groult (Livre de poche 2013)
Un temps très agréable pour marcher, quelques nuages menaçants au départ, vite oubliés, pris par les petites montées sur le haut du parc des Buttes Chaumont, puis sur le 2ème sommet de la capitale, Belleville et ses châteaux d’eau.
Des fontaines Wallace à la pelle, sept le long du parcours, trois réservoirs d’eau, et puisque nous sommes dans les chiffres environ trois cents participants dont beaucoup ont eu du mal à rentrer chez eux à la fin de la randonnée Place Edith Piaf. Il est vrai qu’il était 10h moins dix.
Merci à tous.
Comme chaque année au mois d’août, notre balade mensuelle quitte Paris (pas d’inquiétude, on y reviendra !) pour découvrir un petit morceau d’outre-phériphérique : cette fois nous avons choisi Montreuil.
Et c’était bien un air de vacances qui flottait ce jeudi soir devant l’imposant beffroi de la Mairie de Montreuil. Les habitants qui profitaient de cette belle soirée d’été sur la place hésitaient à en croire leurs yeux : 250 participants environ venus partager les vacances de la Panamée® dans une ambiance chaleureuse et détendue, encadrés par nos Randopanameurs reconnaissables à leurs chasubles jaune et mauve.
Direction le plateau du Haut Montreuil où une trentaine d’hectares de jardins cachés conservent la tradition des fameux Murs à Pêche, un fruit fort apprécié en cette saison. Puis rendez-vous dans trois grands parcs qui contribuent à faire de Montreuil une vie verte où il fait bon vivre. Le premier, l’historique, le classique, le parc Montreau et son Musée de l’Histoire vivante consacré à l’histoire sociale et ouvrière. Le deuxième, le parc des Beaumonts, sa biodiversité et son émouvante clairière des 27 fusillés. Et le troisième, Les Guilands relié au parc Jean-Moulin de Bagnolet dans un bon esprit de coopération au service des citoyens et du sport.
Merci à tous les marcheurs.
Il faisait bon hier soir près du Jardin des Batignolles au départ de la Panamée mensuelle, dédiée à Emile Zola, bon temps, bon public environ 300 participants, bonne ambiance, mélange de nouveaux et de fidèles.
En fait, comme presque souvent, la température au sens propre comme au sens figuré était idéale, dans un Paris à moitié en vacance, une partie des habitants sont ailleurs, remplacés par de nombreux touristes étonnés de voir ces chasubles jaune et mauve encadrer une randonnée citadine et répondre aux questions que se posaient les consommateurs de tout âge, attablés aux terrasses de cafés « qu’est-ce que vous faites ? ». Si les ventes des livres de ce colosse de la littérature que fut Émile Zola (1840-1902), thème de la Panamée, ne décollent pas ce ne sera pas faute d’en avoir fait la promotion : Thérèse Raquin, l’Assommoir, Nana, tout au long des 3 heures de marche (7,5 km).
Ses Amis, ses Amours, ses... adresses dans les 17ème et 18ème, le cimetière de Montmartre où il ne fit qu’un passage avant de rejoindre le Panthéon, et pour finir le siège de l’Aurore 144 rue Montmartre, dans le 2ème et la plaque du fameux J’accuse d’Émile Zola dans l’affaire Dreyfus à deux pas de son adresse de naissance.
Daniel R.
On aurait pu craindre, avec la chaleur, un coup de torchon sur la Panamée® du jeudi 16 juin, et bien non, ce fut une Panamée® tranquille, un peu chanceuse aussi. En effet certains espaces verts auraient dû être fermés en temps ordinaire à nos heures de passage. Mais, que des bonnes surprises ! Un peu avant le cimetière du Père Lachaise, nous avons pu découvrir le square Henri Karcher (1849-1933) fondateur de la célèbre brasserie éponyme et ancien maire du 20ème arrondissement, certes il se méritait il fallait aller le chercher ! Et gravir quelques marches, mais quel bonheur, un sommet pour nous seuls et une découverte pour tous, autre bonne surprise nous avons pu traverser le square de Ménilmontant et des Saint-Simoniens.
En résumé, ce fut une Panamée® verte, qui a commencé dans le bois de Vincennes, pour arriver Place des Fêtes entre le jardin du regard de la lanterne et le square de monseigneur Maillet, avec, entre, une portion intéressante sur la petite ceinture et une autre moindre sur la coulée verte René Dumont, le sobre jardin Mary Cassatt, la place de la Nation ré arborée, le mignon jardin Vitaly dans le passage très sympathique Hypatie d’Alexandrie.
Un temps superbe, vous étiez environ 300 au départ et encore presque aussi nombreux à l’arrivée.
Merci à tous et aux agents des espaces verts de la mairie de Paris.
Ce fut un bon moment que cette Panamée du jeudi 19 mai, avec une thématique qui tombait à pic dans cette période de fortes chaleurs : les Canaux !
Il y avait du monde, devant la fontaine des lions de Nubie, réalisée en 1811 par Pierre-Simon Girard l’ingénieur du canal de l’Ourcq.
Hors touristes, vous étiez un peu plus de 400 au départ Porte de Pantin et encore très nombreux à l’arrivée à l’aplomb du bassin de l’Arsenal, Place de la Bastille...
Entre les deux, un cheminement de bord de canal ponctué de passerelles à traverser, le canal de l’Ourcq, l’écluse du Canal Saint Denis, le rond-point des canaux, le bassin de la Villette, point de départ de l’aqueduc de ceinture, le canal Saint-Martin, et quelques incongruités, un sous-marin, une rotonde, l’hôtel du Nord, un génie illuminé.
Merci à tous !
Un temps idéal, un ciel clair , pas trop chaud, pour marcher et faire plus ample connaissance avec Rosa Bonheur( 1822 Bordeaux 1899 BY),la peintre et la femme : le jardin des Plantes où elle fit ses premiers croquis d’animaux, le Louvre qu’elle fréquenta d’abord en cachette toute jeune, puis trente ans plus tard en tant que premier prix au Salon, l’école de peinture dont elle fut directrice, ses adresses, ses maisons où elle vécut avec son père et sa fratrie, ses ateliers , le musée d’Orsay , seul musée de Paris à détenir UN tout seul de ses tableaux....les autres sont ailleurs à New-York, Londres, Philadelphie, Madrid..
Une grande peintre et une grande Dame avec un caractère certain. Méconnue pendant longtemps en France, après avoir été médaille d’or du Salon des peintres au milieu du XIX° siècle, mais archi célèbre en Angleterre et aux Etats-Unis.
Ses tableaux étaient dans les musées, ses reproductions, partout ,sur des objets usuels ou sur des affiches, le portrait de Buffalo Bill en personne fit le tour du monde. Puis à nouveau reconnue vers 1860 première femme à être faite chevalier de la légion d’honneur des mains de l’Impératrice Eugénie , puis officier de celles du président Sadi Carnot,. Encore plus tard , à peine enterrée au Père Lachaise, elle replonge dans l’oubli presque jusqu’à nos jours.
Prolifique, certainement plus de 300 tableaux , des milliers de dessins, d’estampes, et de photos sur la fin de sa vie.
Nous connaissons tous ses bœufs labourage nivernais, ses chevaux, le marché aux chevaux, ses cerfs ou ses lions, mais pas son nom : elle s’appelle Rosa Bonheur..
Nous étions un peu plus de 350 merci à tous !
Il y a longtemps qu’un poète a dit….
''Voir Paris sans voir la Courtille,
Où le peuple joyeux fourmille,...
C’est voir Rome sans voir le pape.''
Ce fut une belle rando, beau temps pour marcher, des participants contents de passer dans des endroits où nous n’allons pas souvent. Le plus surprenant, ce n’est pas d’être arrivés avant 22h, c’est que sur les 300 personnes environ au départ, il y en avait encore près de 200, place du tertre en haut de Montmartre, alors que la rue Lepic sans être à pic (c’est facile) est un peu pentue.
Merci à tous !
Jeudi 20 janvier 2022 c’était soir de Panamée®…
Bon nombre de fidèles étaient déjà présents Place Saint-Michel vers 18h30, rapidement rejoints par beaucoup de nouveaux.
C’est donc près de 350 personnes encadrées qui ont découvert ou redécouvert les bords de Seine dans Paris la nuit…
Notre-Dame à notre gauche toujours aussi sage, les lumières de l’Institut du monde arabe sur notre droite, peu de bateaux sur le fleuve peu de promeneurs à hauteur du jardin Tino Rossi ce qui facilite la déambulation entre les œuvres modernes du musée à ciel ouvert, l’esplanade entre les 4 tours livres ouverts de la BNF nous accueille pour quelques explications de notre conteuse du soir : la piscine Joséphine Baker à gauche, la passerelle Simone de Beauvoir devant nous, presque seuls, un œil sur les Tours Jean Nouvel au loin sur notre droite impossible de ne pas les voir…Le Parc de Bercy, même le ministère des finances étrange et silencieux s’inscrit parfaitement dans le cheminement, le bassin de l’Arsenal avec une vue extraordinaire sur le Génie de la Bastille, et retour sur les quais rive droite avec vues imprenables sur les hôtels particuliers de l’Ile Saint-Louis, illuminés juste comme il faut jusqu’à hauteur de l’hôtel de Sens et c’est déjà fini il est 22 heures.
Une belle Rando, merci à tous
Daniel Ramey